Vincent Leroux-Lefebvre

CONFERENCIER MANAGEMENT ET RESPONSABILITE SOCIALE DES ENTREPRISES

RESPONSABILITÉS ET COMPÉTENCES

IMG_0973Lauréat du prix de la Fondation Robert Schumann en 2000, Vincent Leroux Lefebvre est aujourd’hui formateur et consultant en performance Achat et RSE, fondateur de la société PARSE. Il est ancien directeur des Achats pour un éditeur de logiciel. Spécialiste des Achats et des SIA depuis plus de 15 ans, il a travaillé dans des environnements aussi variés que l’électroménager, le tabac, le mobilier de bureau, les revêtements de sols.
En janvier 2010, il lance “performance-achats-rse”, un blog généraliste sur la RSE, tourné tant vers les directions Achats que vers le monde de l’entrepreneuriat. En 2013, après différentes sollicitations, il crée un comité rédactionnel (Nicomak,SO3 et lui) pour le magazine Dynamique Entrepreneuriale avec la “Minute RSE” visant à sensibiliser les entrepreneurs à l’importance de la RSE et de sa vision dans la stratégie de l’entreprise.
Certifié PMI et ayant collaboré à un programme de World Class Manufacturing (WCM), il a collaboré à des actions achats tournées vers le développement durable (Recycling, Up cycling, C2C). Il intervient auprès de l’ObsAR sur les différentes problématiques d’achats de prestations intellectuelles.
Retrouvez-moi sur www.vivavox.fr.

Passionné par les Nouveaux défis et les Nouvelles Générations, Vincent est un conférencier, référent de la RSE tant au niveau de ses problématiques organisationnelles, managériales que stratégiques pour les entreprises. Dotée d’une vision à la fois prospective et opérationnelle , il donne des conférences aussi bien en français, qu’en anglais ou en italien.

THÉMATIQUES D’INTERVENTION

    • Stratégie opérationnelle: « La RSE, levier de performance au cœur de toutes les stratégies » La RSE s’inscrit dans une vision transverse de l’entreprise, impliquant l’ensemble des parties prenantes de l’entreprise y compris les clients. Dans cette optique, la RSE a pour objectif de créer un cercle vertueux de performances, en partant de la performance achats (création de la valeur), jusqu’ à la performance économique (résultats financiers) en passant par la performance RH (dynamique humaine) ou encore éthique (valeurs, moralité) et environnementale (développement durable).
    • Management : « Comment travaillerez-vous demain ? » Si les grands penseurs du management étaient encore parmi nous (F-W Taylor, H. Fayol, P. Drucker, E. Deming…), ils s’étonneraient sans doute de constater que leurs modèles sont encore d’actualité alors que le monde a considérablement changé depuis 10 ans. Les organisations doivent évoluer pour faire face et accompagner ces changements, notamment en développant de nouvelles compétences et en expérimentant de nouveaux thèmes RH : de la « gestion des carrières » à la « gestion de l’employabilité », de la « santé et sécurité » au « bien-être au travail » et à l’« équilibre vie professionnelle/vie personnelle », de la « gestion des différences » à la « promotion de la diversité », de la « conformité » à « l’éthique des affaires », de « l’implication citoyenne » à « l’engagement sociétal», de la gestion des rapports salariés-entreprise à l’intégration de la RSE dans le dialogue social, ou les nouvelles politiques de rémunération.
    • Ethique : « Mythe ou réalité ? » L’entreprise éthique est dans toutes les bouches. Communication ou réalité ? Les scandales de Volkswagen (réduction frauduleuse des émissions polluantes) ou encore Gap (travail des enfants) nous rappellent que le chemin est encore long pour que l’entreprise éthique s’impose comme le modèle d’entreprise du 21e siècle. La prise de conscience éthique reste encore aujourd’hui principalement propre aux consommateurs. De plus en plus éclairés grâce au numérique, l’éthique ne peut plus être qu’un discours pour les entreprises qui doivent prouver la réalité de leur démarche. Au risque de jeter l’opprobre sur l’ensemble de leur chaîne de production ou pire sur l’ensemble des entreprises (à l’instar des politiques, tous corrompus selon les sondages d’opinion)…une responsabilité tant individuelle que collective.
    • Sens : « L’uniformisation des programmes de RSE passe t’elle par une vue unique ? »Il est indispensable d’avoir un programme qui donne une vision commune. Mais celui-ci doit intégrer l’ensemble des parties prenantes qui n’ont jamais les mêmes besoins ni les mêmes applications. Ces programmes doivent avoir un sens, la Responsabilité Sociale de l’Entreprise étant avant tout une Responsabilité de Sens de l’Entreprise. L’enjeu est moins ce que l’on communique, que la façon dont on le communique…
    • RSE « Vers un risque de fracture sociale et générationnelle ? » : Dans la lignée de Milton Friedman, les entreprises se sont focalisées ces dernières décennies sur la mission de maximisation du profit et de rentabilité des actionnaires, au risque de fracturer la société avec l’accroissement spectaculaire des inégalités. La génération Y est mise aujourd’hui en avant comme le porte-drapeau d’une nouvelle vision de l’entreprise et de la société, basée sur le sens, le respect de l’environnement et le bien-être commun (économie collaborative)…au risque de diviser les générations alors que cette dynamique est largement transgénérationnelle (quarantenaires, génération Z, séniors, etc). La responsabilité sociale de l’entreprise, sous l’égide du/des dirigeants(s) a un rôle majeur à jouer pour fédérer les différents acteurs et mettre ces enjeux de société au cœur des problématiques de l’entreprise.

 

EXEMPLES DE CONFÉRENCES

assemblée

  • « La RSE dans les achats de prestations : gestion du risque fournisseur ou vraie opportunité ? » (ObsAR, 13 novembre 2014)
  • « Les contrats d’achat pour le Cloud ? » (CDAF, 9 avril 2015)

ORGANISMES QUI LUI ONT FAIT CONFIANCE

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